âkâsha
Rue Nationale
les lèvres blanchies
lapent,
servent l'écume
aux gosiers rougis.
Fulgurations d'un bestiaire qui s'ébroue
Carnets par lesquels j'accède un peu à toi :
prāṇa - apāna - udāna - samāna - vyāna
Onomatopées à mes oreilles : Parole par ta bouche.
Lignes déliées pour mon œil : Enluminures par tes mains.
Rue Nationale
Le sang enfle
le cœur,
éveille en nous
Le Souffle.
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